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Les conseils des pros pour lancer son livre et cartonner sur Amazon!

Coucou amis écrivains!

L’article de la semaine porte sur les techniques pour lancer son livre comme un pro!

On se retrouve parfois avec un manuscrit que l’on sait bon, que l’on ressent bon, malgré les refus des grands éditeurs. Et si vous en venez à douter de son intérêt alors ne doutez plus! Cela sert à rien 😉 Tentez votre chance autrement! La meilleure façon de grandir est de se confronter au vrai monde, pas de pleurer dans son coin… Alors, que faire avec ce bijou sur lequel on a travaillé pendant parfois des années? L’auto-édition bien sûr! Là, vous allez apprendre. Là, vous allez vous professionnaliser. Et qui sait, si votre petit bijou rencontre les bonnes personnes, il pourrait bien trouver son public et développer ses ailes. Tout vaut mieux que le fin fond de votre tiroir et de votre mouchoir. Oui mais voilà, écrire un bijou ne suffit pas, appuyer sur le bouton «publier» de Kindle Direct Publishing ne suffit pas. Encore faut-il savoir lancer son livre et ne pas être noyé dans la masse!

Cela tombe bien, pendant le salon Livre Paris, j’ai assisté à la conférence donnée sur le stand Amazon par Jacques-Line Vandroux et Wendall Utroi, des pontes de l’auto-édition, le tout animé par Elizabeth Sutton du site IDBOOX. Le thème? «Comment réussir le lancement de son livre sur Internet?».

photo des participants à la conférence sur le stand Amazon
De gauche à droite: Elizabeth Sutton, Jacques-Line et Jacques Vandroux et Wendall Utroi lors de la conférence sur le Stand Amazon

Bien que tous s’accordent à dire que cartonner sur Amazon c’était plus facile ââvant, il existe quand même quelques techniques que vous pouvez mettre en application et quelques mises en garde que vous devez avoir à l’esprit avant d’appuyer sur le bouton pour lancer votre livre. Je vous fait ici un compte-rendu de leurs idées, bref, un extrait de leur jus de cerveau. ^-^

Les préparations en amont: ficelez bien le rôti!

1. La chasse aux fautes: Faites vous relire

Avant de lancer son livre, il faut bien travailler la forme. De nos jours, les lecteurs sont extrêmement exigeants et ils attendent les auteurs indés au tournant. La moindre faute d’orthographe sera traquée. On vous pardonnera plus facilement votre style ou des erreurs de fond, car c’est ce qui fait parfois la fraicheur et la puissance des auteurs indés: ne pas entrer dans le carcan des éditeurs (note de l’alchimiste). Mais les erreurs de forme, on ne vous les pardonnera jamais. Ne pas avoir une faute par page, c’est le minimum vital.

Note de l’alchimiste: Je vous prépare une liste des relecteurs en qui j’ai confiance ainsi qu’un lien vers un groupe bien pratique dans le livret gratuit à paraître.

Donc, si vous avez les moyens, investissez sur un correcteur pro, qui font aussi parfois le style. Envoyez-lui un premier chapitre pour qu’il juge le travail et il vous fera un devis. De nos jours, on trouve facilement des relecteurs pas trop chers. Mais pour un gros roman, ça monte vite à quelques centaines d’euros. Tant pis pour la dernière intégrale Blu-ray de votre série préférée. Ou tant pis pour ces super chaussures de marque. La satisfaction de vos rêves, de votre âme, passe avant la satisfaction de vos envies consuméristes.

Si vous n’avez pas les moyens, alors, criez au secours avec les yeux larmoyants du chat de Shrek. Dans votre cercle, il y a peut être un prof de français ou une Tata Paulette qui prend la moindre faute d’orthographe pour une insulte personnelle. L’un des intervenants, à ses débuts, s’est fait relire par une amie instit qui, si elle n’avait pas la réponse à une question d’orthographe, allait directement sur le site de l’académie française. Elle avait sa réponse dans l’heure! La fille parfaite quoi! Surtout, faites relire par plusieurs personnes car l’erreur est humaine et chacun a ses bêtes noires, même les pros d’ailleurs 😉

2. Créez une couverture pro: Le timbre post qui claque

La couverture est la première accroche sur Amazon. Un lecteur achète un livre, ou tape un mot-clé et là, Amazon lui sort des livres au format timbre-poste. Donc, faites en sorte que votre couverture fonctionne avec ce format, ce qui implique:

  • Un titre bien visible
  • Un visuel clair et bien fignolé: pro! Une couverture qui sonne amateur va passer l’envie d’acheter le livre.

De nos jours, on peut peut avoir une couverture pro pour une centaine d’euros, par exemple sur le site Kouverture.com. Mais d’autres artistes font des «premades cover», des couvertures préfabriquées. Je vous prépare aussi une liste de quelques graphistes que j’ai testés dans le livret gratuit à paraître.

Petit exemple, les couvertures de Wendall Utroi, je les trouve juste géniales surtout les deux du milieu: pro, adaptées au thème, lisibles au format timbre poste, parfaites! 😉

Couvertures de livres de Wendall Utroi

[Edit: Il faut tout de même préciser que les couvertures de Wendall, ainsi que les miennes sont faites par Gaëlle Merlini, une véritable pro, qui coûte un plus cher que 100€ mais qui est inimitable! Regardez moi ce logo ^-^ (le dessin est de Laure Ngo/ Mistral) Vous pouvez voir sa méthode de travail dans cet article]

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Et si vous n’avez pas les moyens, parlez-en autour de vous avec les yeux du chat de Shrek. Le fils de Tata Paulette a peut-être Photoshop et il a peut-être envie de tester son habileté sur un truc pro! Moi, c’est mon beau-frère qui a fait ma première couverture Kindle. Pour le format papier un peu plus complexe, j’ai dû payer une graphiste mais pas très cher car le gros du boulot était déjà fait 😉

N’oubliez pas de remercier tous ceux qui vous ont aidé. Et notamment, sur Amazon, on peut renseigner l’artiste dans les auteurs. Ne vous en privez pas. Cela fera toujours plaisir à vos gentils donateurs 😉 Lancer son livre est un travail d’équipe!

3. L’enrobage: titre, résumé et tout ce qui va avec

Après la couverture, le titre est la première accroche. C’est difficile de donner des règles. On vous dira souvent qu’il faut qu’il reflète le genre, mais comme la couverture, il doit aussi se démarquer et attiser la curiosité. N’hésitez pas à étudier ce qui se fait dans votre genre.

Le résumé sera la seconde accroche et le déclencheur d’achat. Il doit situer le genre et donner envie. Soignez-le bien! Faites-le relire! Demandez des avis et de l’aide autour de vous! Vous avez passé plusieurs années à écrire votre livre, ce serait dommage qu’il fasse un flop car vous avez bâclé votre résumé… Vous devez le peaufiner jusqu’à ce qu’il déclenche l’acte d’achat de manière impulsive. Il doit être percutant et pas trop long.

Et bien sûr: AUCUNE FAUTE NE SERA TOLÉRÉE. Ces dix petites lignes reflètent et doivent vendre 300 pages…

Enfin, n’oubliez pas de remplir les champs de mots-clés, le sous-titre, etc.

La phase de marketing: criez sur tous les toits mais sans mégaphone s’iou plaît!

1. Si vous démarrez de zéro, mais genre, le zéro absolu, sollicitez vos proches

Annoncez la sortie de votre livre sur vos propres réseaux sociaux, gentiment, avec humilité, en mettant vos rêves sur la table et sans pour autant avoir les yeux larmoyants du chat de Shrek 😉 Faites également des rappels dans le mois qui suit, sans pour autant harceler vos amis: pas de mégaphone! Lancer son livre, c’est un aboutissement, vos proches en ont conscience mais ne les abrutissez pas!

montagnes de pouces likes facebook

Demandez à vos bêtas lecteurs de commenter votre livre sur Amazon. C’est extrêmement important les premiers commentaires pour lancer son livre avec succès car de nombreux lecteurs n’achètent que si ils voient des commentaires (cela rassure). Constituez-vous une liste de personnes qui vous aiment un peu, beaucoup ou passionnément et demandez leur personnellement d’acheter votre livre, si possible de le lire et surtout de le commenter très vite. Vous pouvez aussi leur envoyer la version word en avance pour être plus réactif le jour J. Nous allons voir ci-après pourquoi ;).

Attention cependant, ne dites pas à Tata Georgette (bien plus gentille que Tata Paulette) de laisser un commentaire dithyrambique alors qu’elle n’a pas lu votre livre. Il faut que ce soit honnête. Cela se verra qu’elle ne l’a pas lu. Et surtout, si on ment sur la marchandise, le lecteur vexé ne le pardonnera pas et vous aurez le droit à votre premier commentaire une étoile!

2. Préparer votre communauté en amont pour craquer les algos d’Amazon

Un mois à l’avance ou au fil de l’eau, sollicitez vos lecteurs, demandez-vous leur avis sur la couverture, le résumé, etc. C’est une façon de parler de vous et ils se sentiront impliqués le jour de la sortie. Lancer son livre, c’est un travail d’équipe 😉

Une semaine en avance: annoncez la date de sortie, parlez de vos personnages, de l’univers, des extraits, donnez envie!

Si vous avez déjà une newsletter, envoyez les premiers chapitres à vos lecteurs.

Le jour J: Renvoyez un mail à vos abonnés et vos amis le jour de la sortie. Et postez sur les réseaux sociaux pour déclencher un achat groupé.

Vous pouvez poster votre message sur les cercles de lectures et de promotion d’auteur (attention de bien regarder les règles du groupe et de demander la permission si vous ne savez pas comment ça marche!). Attention, ne postez pas sur un groupe différent toutes les heures. Vous allez vous faire détester et ce sera contre productif.

Questions diverses:

Faut-il faire des publicités payantes sur Facebook? Les auteurs présents déconseillent les publicités Facebook payantes. Elles sont très rarement rentables. Vous avez plus de vendre dans un cercle restreint de gens qui vous connaissent et vous soutiennent. (Néanmoins, cela ne marche pas trop mal pour vendre les livres gratuits). Si vous voulez en savoir plus sur les pubs Fcebook, je vous renvoie vers l’excellente série d’articles de Nathalie Bagadey.

Faut-il mettre le livre en numérique (Kindle) ou juste au format papier? Sur 100000 livres vendus, les Vandroux en ont vendu 98% en numérique. Ne vous posez même pas la question. On vend en numérique. Le papier, c’est pour les fans qui veulent un collector. [Edit: plusieurs auteurs ont remonté qu’ils vendaient beaucoup en papier voire moitié-moitié, cela dépend des auteurs, des genres et du lectorat]

On peut toutefois se faire référencer en librairie en payant des intermédiaires (BOD, Iggybook, etc.) ou non (dilicom directement) mais c’est juste être présent dans une base de données. Vos lecteurs devront  commander votre roman en librairie et vous devrez toujours vous faire connaître seul.

Faut-il s’inscrire à KDP Select ou pas? Contre l’exclusivité de la diffusion d’un livre, Amazon vous propose d’entrer dans sa bibliothèque de prêt où vous serez rémunérés à la page lu. Pour certains auteurs, c’est un revenu non négligeable, bien supérieur à ce que les ventes sur Kobo ou d’autres plateformes leur aurait rapporté. De plus, lorsque une personne l’emprunte, cela compte comme une vente et le fait monter dans le classement (donc lui apporte de la visibilité). Enfin, cela permet d’entrer dans les programmes de promotions et de mises en avant d’Amazon ainsi que de jouer plus facilement avec les prix.

Faut-il faire des précommandes? Attention aux précommandes que vous propose Amazon. Elles permettent de ne pas perdre les potentiels acheteurs au fil de l’eau avant de lancer son livre. Cependant, il y a un revers à la médaille: les ventes seront diluées dans le temps et vous aller rater votre lancement car Amazon aime quand ça décolle au démarrage: plus vous vendez, plus il vous met en avant, plus vous vendez… Le Graal!

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Pensez à l’avenir, construisez-vous une communauté

Comme on l’indiquait plus haut, les commentaires sont importants pour les acheteurs, mais aussi pour le robot d’Amazon qui vous met en avant. Donc, n’oubliez pas de demander à vos lecteurs à la fin du livre de le commenter sur Amazon. Mais attention, ne pétez pas les plombs avec les mauvais commentaires. Comme dirait Jacques: «Ce n’est pas un drame, cela fait parti de la vie du livre et de la vie d’un auteur». Vous pouvez demander du soutien aux copains en privé mais ne pleurez pas sur les réseaux sociaux, cela vous décrédibilise. Toujours tourner les choses en positif… Et personne n’est infaillible, n’hésitez pas à demander à vos lecteurs de vous signaler les erreurs qu’ils auront trouvées! Cela fera plaisir à certains 😀 Une mauvaise critique, cela n’empêche pas de tisser de très bonnes relations avec des blogueuses ou des lecteurs. Il faut juste rester pro et ne pas trop laisser parler son ego. On est là pour progresser. Même si, tout le monde est d’accord, ça fait mal quand même…

Certains réussissent le paris fou d’être best seller Amazon à leur premier livre ou à décrocher la Blanche de Gallimard à leur premier manuscrit, mais pour beaucoup d’entre nous, cela prendra plusieurs essais. C’est normal! Et cela même si vous appliquez toutes les recettes de cet article et des autres à la lettre. Ne vous découragez pas, faites de votre mieux et continuez à travailler. Mais surtout: Capitalisez! Prenez soin au fil de vos échanges avec vos lecteurs ou les blogueuses de noter leur contact. Toujours selon Jacques: «Les livres n’existent que parce qu’il y a des lecteurs». D’ailleurs, répondez toujours à vos lecteurs, nouez un dialogue. Vous serez alors plus qu’un illustre inconnu, vous serez un ami. Ils vous viendront plus facilement en aide lors de vos futurs lancements, qui, vous l’avez compris, ressemblent à des opérations coup de poing!

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Tout ça pour quoi? Le plaisir!

Si vous vous lancez sérieusement, pensez à créer une image de marque d’auteur (ton, ambiance, univers), une page auteur, à ouvrir une newsletter en donnant un petit cadeau en échange (une nouvelle, un extrait, des scènes bonus, etc.). Bref, à vous constituer un lectorat, et à voir l’avenir sur le long terme. Trop d’écrivains se découragent après avoir écrit leur premier roman!

Alors oui, c’est beaucoup de travail. Comme dirait Jacques: «la première personne à être satisfaite, c’est soi-même».  Le premier plaisir c’est d’écrire, de finir un livre puis de rencontrer des lecteurs qui vous pousseront à continuer. Le premier commentaire d’un lecteur inconnu, la première chronique de blogueuse, le premier mail de lecteur, la première fois dans le top 100, le premier salon du livre… Il existe tout un tas de première fois qui vous donneront le frisson…

Alexas_Fotos / Pixabay

Bonne chance à vous dans vos projets!!

^-^

    • Super contente du clin d’oeil pour la couverture c’est clair 😉 Bravo Wendall Utroi pour cette conférence et Ghaan pour l’article ! Autant que possible faire parler de son livre et être présent sur les réseaux semble effectivement la meilleure stratégie pour l’auto-édition.
      Petit complément, amis écrivains ou apprentis graphistes, faites juste attention en prenant des couvertures pré-fabriquées de ne pas vous retrouver tous avec les mêmes photos de banque d’image ou les même typo pour tout vos titres de romans. Au final ça manque de personnalité et on ne se souviens pas du roman.
      Pour avoir fait 2 des couvertures, de Wendall Utroi et Ghaan je sais que vous n’avez pas fait ce choix d’ailleurs. Vous avez cherché une graphiste pour avoir un dialogue particulier et personnalisé pour réaliser vos couvertures sur mesure. Le tarif n’était pas de 100 euros, (je précise ça peut fausser les attentes des écrivains sinon) imaginez au moins le double voir plus suivant votre demande.
      Audrey Alwett, auteure et créatrice du label bad wolf en auto-édition, a particulièrement soigné ces couvertures pour les 3 premiers titres et le succès sur amazon et ses démarches actives pour faire vivre le label ont permis de passer en édition traditionnelle chez actu SF. Bon c’est rare mais ça s’est produit ! Les couvertures des livres ont alors eu un budget supplémentaire pour trouver l’illustrateur idéal qui traduise l’univers du roman, avant même de me confier à nouveau les maquettes de couverture de “Le soupers des maléfices” et “Les poisons de Karthaz”. Ghaan, toi aussi tu a investi directement et cherché dès le début ton illustrateur préféré pour les 2 romans que je connais et c’est un élément incontournable pour séduire et donner un avant goût de ton univers. Le tarif du dessinateur s’ajoute à celui de la maquette et là encore la couverture ne sera pas de 100 euros : mais l’auteur a au final un livre qu’il aime avoir dans les mains, que les gens remarques et qui sait obtient même une meilleure visibilité mais c’est toujorus difficile à quantifier je crois…

      • Merci Gaëlle pour ce complément d’info! (Pour info: Gaëlle est graphiste et une des meilleures dans la place 😉
        alors oui, entre une couverture réalisée par toi ou par une personne avec beaucoup moins d’expérience ou quelqu’un trouvé sur Upwork, le résultat sera très différent. Et bien sûr Wendall et Audrey n’auraient sans doute pas cartonné sans ta patte inimitable!

        Maintenant, il existe des personnes qui travaillent pour 100€. C’est triste, je sais. Je suis la première à vouloir payer les gens à leur juste valeur mais il se trouve que je peux me permettre de mettre une somme sans commune mesure avec les autres auteurs. Car entre toi: vraie pro et Laure: sacrée artiste, j’ai un budget trois fois supérieur à la plupart des auteurs. Mais ce n’est pas ça qui me fera vendre sur Amazon. Mes ventes sur Mira sont sans commune mesure avec Wendall. Car notre créneau est on ne peut plus différent: thriller versus roman manga. Je le fais car au bout du compte, j’ai le produit-livre de mes rêves (et j’ai trop hâte de voir le résultat de Demon Heart *-* )
        Je cite tout de même les solutions bradées car chacun fait selon ses possibilités et beaucoup d’auteurs sont fauchés… Mais je vais faire un Edit dans l’article. Tu as raison, on ne peut pas dire que le résultat sera le même!
        Merci de ta contribution!

  • Très bon article !
    Des conseils que chacun devrait suivre, bien que cela ne garantisse pas le succès à tous les coups.
    Personnellement, je déconseille de passer par des intermédiaires car on ne peut pas de ce fait bénéficier des offres éclairs et autres avantages d’Amazon.

    A titre personnel, j’ai écoulé davantage de livres en papier qu’en numérique. Donc, non, le papier n’est pas inutile. Et puis je suis navrée, mais pour moi un livre c’est du papier.
    Mais je suis de la vieille école, sans doute 😉

    • et bien je vais changer tout ça! Je m’étais basée sur des retours d’expériences parcellaires! Je vais nuancer mon propos sur le papier!
      pour moitié? C’est super!
      merci de ton retour!
      et oui, cela ne garantit pas le succès. De même, que le conte de fée de la personne qui met son livre sur Amazon, qui ne fait aucune promo et qui cartonne existe encore! même si c’est très rare 😉 Je connais une fille à qui c’est arrivé ^-^